poutine au paprikás

jeudi, mai 07, 2009

l'eau frette, l'eau frette

un jour plus tard...

Steve-qui-pue est revenu faire un tour hier après-midi, son troisième jusqu'à maintenant. Je ne l'attendais pas, celui-là, mais ça ne pouvait pas faire de tort. Je me suis servi du fait que je travaillais avec les écouteurs pour faire semblant de ne pas l'entendre et pour tenir mon nez à distance. Cela faisait son affaire, je crois, car il n'était pas très fier. Je crois que depuis que mon propriétaire s'en est mêlé, nous sommes devenus les emmerdeurs numéro 1 sur la liste des réparateurs. C'est plate, hein?

Comme à ses deux visites précédentes, Steve a réussi à remettre le chauffe-eau en marche, puis il est parti. Bon, que je me suis dit, ça nous fera quand même une tinque d'eau chaude pour la soirée.

Eh bien, comme le veut l'adage, jamais deux sans trois : le chauffe-eau a chauffé l'eau une fois, puis il s'est arrêté. En fait, je crois qu'il surchauffe, car à un moment donné, j'y entendais l'eau bouillir, ce qui n'est pas censé se produire, il me semble.

Bref, énième retour à la case départ ce matin. Il restait juste assez d'eau chaude pour que Marc prenne une douche convenable avant de filer au bureau. Moi, disons que je commence à sentir du dessour.

J'attends donc impatiemment l'arrivée du spécialiste. J'ai bien hâte de voir ce qu'il va faire, celui-là.

Ne craignez pas, fidèles poutineurs, vous serez les premiers à le savoir.